Les sites d’injections légaux

Plus de conneries dégénérées poussé par nos magnifiques bobos gauchistes de MTL. Hey, les junkies se tuent comme des imbéciles dans les ruelles, alors donnons leur des endroits gratuits où ils peuvent se tuer à petit feu sur le bras des contribuables, quelle magnifique idée. Comme d’habitude, cette magnifique initiative nous est décrite comme étant juste un moyen d’aider ces pauvres drogués, ils souffrent les pauvres. Mais bien sûr, avec les gauchistes, c’est tout le temps la même vieille tactique, faire semblant de faire de bonnes actions mais réalistiquement essayer de détruire la société et les familles traditionnels.

Maintenant que la ville de Montréal a ouvert des sites d’injection de drogue pour les junkies pour profiter d’un espace sûr pour détruire leurs corps avec des drogues toujours plus dégoutantes, peut-être la ville devrait envisager d’acheter un bâtiment vacant et de meubler les appartements avec toutes sortes de biens de consommation, de bijoux et de liquidités pour le bénéfice des cambrioleurs habituels qui seraient autorisés à faire leur commerce, réduisant ainsi le nombre de pannes résidentielles. En ce qui concerne l’endroit où les pédophiles peuvent satisfaire leur prédilection de malade, bien que l’application soit probablement un peu problématique.

Les partisans des sites d’injection sécurisés manifestent une attitude plus sainte que celle de la supériorité, nous disant que nous préférerions beaucoup un site contrôlé où les toxicomanes peuvent lentement se tuer, plutôt que de leur permettre de tirer dans les rues et les allées de bars. Quoi qu’il en soit, si nous sommes vraiment enclins à fournir des refuges d’injection pour protéger la société et les toxicomanes eux-mêmes, n’est-il pas logique que nous fournissions également les médicaments, afin de saper les concessionnaires et d’éliminer les crimes liés à l’obtention des médicaments?

Ridicule? Absolument. L’idée entière de sites d’injection sécurisés repose sur l’idée stupide que le contrôle du mal est meilleur que de le combattre. Les familles qui vivent l’agonie d’un membre toxicomane comprennent que permettre à un être cher de continuer à consommer de la drogue dans un environnement sûr, n’est pas exactement le chemin de la rédemption. Permettre aux toxicomanes de rester en liberté signifie que non seulement ils continueront à se détruire eux-mêmes, leurs familles, la société en général alors qu’ils volent et mentent pour nourrir leur habitude, infligeant de la violence et des douleurs émotionnelles à ceux qui les entourent. Pour les femmes toxicomanes, la descente vers l’enfer comprend la prostitution et la dégradation. C’est vraiment le chemin que la moyenne des gens souhaitent pour leur fille?

La faute de l’argument selon lequel les sites d’injection sécurisés sont l’alternative préférable ne comprend pas qu’il existe une autre option, qui supprime les junkies des rues et les oblige à se réhabiliter avec les médicaments obligatoires, qu’ils le veuillent ou non. Avant un que quelqu’un crache sur l’idée de la réhabilitation obligatoire pour les toxicomanes, considérez que chaque site d’injection sécurisé économise en moyenne, juste une vie par an. En fait, en dépit de la hâte, les sites d’injection sécurisés attirent de précieux dépendants et, tout en restant un idéal libéral, ils sont absolument inutiles pour résoudre le problème de la toxicomanie extrême.

À l’heure actuelle, l’utilisation de drogues comme l’héroïne n’est pas un crime, à moins qu’elle n’aboutisse à une conduite désordonnée. Mais si l’usage public de drogues de type héroïne devait être une infraction pénale et que les toxicomanes étaient arrêter par la police et dûment reconnus coupables. Par la suite envoyé dans une prison de réadaptation spéciale où ils seraient détenus par la force et soumis à des traitements pour casser leurs habitudes, aussi longtemps qu’il le faut, même des années. Les adversaires soutiendront que faire de la toxicomanie illégale ne conduira plus les toxicomanes dans les rues, ce qui, dans mon esprit, est déjà un bon résultat, mais la vérité est que les toxicomanes sont hors de contrôle et rechute facilement.

L’indépendance du Québec et son économie

Pour beaucoup, l’économie québécoise est considérée comme le plus grand obstacle à notre capacité à devenir indépendant. Cette article ne cherche pas à démontrer que le Québec est un paradis économique sans difficultés à l’horizon. Tous les états du monde, même les plus puissants, font face à leurs propres défis. Si le Québec n’est pas un paradis économique dont l’horizon est exempt de difficultés, il n’y a pas non plus le problème économique que certains tentent de décrire. Nous avons tout ce qu’il faut pour devenir non seulement un état indépendant viable mais aussi plus prospère.

Pour commencer, il faut se rappeler que nous disposons de ressources abondantes qui nous permettront de passer facilement de notre situation actuelle à un Québec indépendant. Notre secteur minier figure parmi les dix premiers producteurs du monde. Les principaux minéraux minés au Québec sont le fer, l’or, le cuivre et le zinc. Nous produisons également du titane, de l’argent, du magnésium et du nickel ainsi que de nombreux autres métaux et minéraux industriels, y compris les diamants. Et ce n’est que le début…60% de notre potentiel minéral reste inexploré. La foresterie est aussi un secteur qui peut contribuer à notre développement. Nous disposons également de grandes réserves d’eau potable. Dans le contexte du réchauffement climatique, cette ressource deviendra de plus en plus importante. En outre, l’hydroélectricité nous met également dans une position enviable à cet égard, ce qui nous permet d’attirer des industries à forte consommation d’énergie ou d’exporter en cas de hausse des prix de l’électricité. Dans le même ordre d’idées, le fleuve Saint-Laurent est une ressource stratégique importante puisque sa voie d’eau atteint le cœur de l’Amérique du Nord. En tant que pays indépendant, nous pourrions réglementer le trafic et imposer des règlements et des tarifs qui nous paraissent les plus appropriés sans avoir à expliquer les besoins de l’Ontario. À l’heure actuelle, la majeure partie du trafic maritime par le Saint-Laurent passe par les Grands Lacs sans aucun avantage réel pour nous. Les avantages sont principalement pour la région de Toronto.

Enfin, notre principale richesse est, et devrait rester, notre cerveau. Les scientifiques, les artistes, les athlètes et les innovateurs québécois apportent déjà le Québec au monde. Avoir une population trois fois bilingue et sept fois plus trilingue que partout ailleurs sur le continent représente également un atout économique important pour nous. Pour tout état, possédant des richesses – naturelles ou non – ne suffit pas, il doit pouvoir développer des industries et des entreprises compétitives. Il doit également être en mesure de protéger ses intérêts stratégiques, c’est-à-dire les avantages concurrentiels qu’il existe sur d’autres États dans certaines industries. Comme d’autres nations du monde, nous devons aussi défendre nos intérêts stratégiques. Cependant, nos intérêts ne coïncident pas toujours avec ceux d’Ottawa. En restant une province du Canada, nous confions une partie importante de nos leviers économiques à une autre nation qui a souvent des objectifs différents.

Tout d’abord, les industries qui reçoivent le soutien des gouvernements canadien et québécois ne sont pas les mêmes. D’une part, il y a l’industrie du pétrole et de l’automobile, et d’autre part, il existe des énergies renouvelables, de l’aérospatiale et de la foresterie. Lorsque l’industrie automobile basée en Ontario a connu des difficultés en 2009, le gouvernement canadien a investi 10 milliards de dollars pour aider à maintenir ces emplois mais, en même temps, des difficultés semblables ont été ressenties dans notre industrie forestière, c’est essentiellement notre gouvernement québécois qui a rectifié le problème. En ce qui concerne le pétrole, Ottawa investit chaque année 1,4 milliard par an (plus de 60 milliards de dollars depuis 1970). Pendant ce temps, Hydro-Québec devait être financé presque exclusivement par notre gouvernement et n’a jamais bénéficié d’un financement canadien important. Les prix du pétrole sont un autre exemple de divergence entre nos intérêts économiques et ceux du Canada. Les prix bas du pétrole sont bons pour notre économie, mais ils entravent la croissance canadienne. En fait, nous n’avons pas d’industrie pétrolière, les avantages pour notre économie sont au mieux indirects. Les inconvénients, cependant, sont extrêmement évidents parce que les prix élevés du pétrole conduisent à un dollar canadien fort, ce qui nuit à nos exportations. Environ 55 000 emplois dans le secteur manufacturier québécois ont été perdus ces dernières années en raison du fort dollar. En outre, des coûts importants sont à prévoir pour la mise en œuvre de l’objectif du Canada visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre puisque le Québec, l’une des provinces les plus vertes au Canada, finira par payer la pollution de l’Alberta. Pire encore, Ottawa n’a épargné aucune dépense dans la promotion des sables bitumineux en Europe et le lobbying pour empêcher son étiquetage de l’énergie sale. En revanche, elle ne défendait en rien notre énergie hydroélectrique lorsque, en 2010, le Congrès américain a décidé de considérer l’hydroélectricité du Québec comme n’étant pas une énergie propre.

Notre faiblesse économique en tant que province du Canada peut également être observée dans le domaine des accords commerciaux internationaux. L’économie mondiale est régie par une multitude d’accords commerciaux conclus entre des États indépendants. Le Canada négocie rarement et signe cet accord en tenant compte de nos intérêts, mais plutôt de ceux de l’économie canadienne plus importante (principalement celle de l’Ontario et de l’Alberta). Le nouvel accord de libre-échange avec l’Union européenne l’a encore démontré. Au cours des négociations finales, le gouvernement canadien a proposé à l’Europe d’importer 17 000 tonnes de fromage en échange de l’opportunité d’exporter 50 000 tonnes de boeuf canadien. Comme les agriculteurs européens sont plus subventionnés que le nôtre, cet accord nuira grandement à notre industrie du fromage, ce qui représente 60% du total canadien. De toute évidence, l’industrie du boeuf, principalement basée en Alberta, est satisfaite de ce résultat.
Tout le monde fait des choix en fonction de leurs propres intérêts. Nous ne pouvons pas reprocher aux Canadiens de vouloir défendre leurs intérêts économiques ici et à l’étranger. Mais alors, pourquoi les Québécois doivent-ils justifier leur détermination à défendre leurs propres intérêts économiques? Malheureusement, il nous est presque impossible de défendre adéquatement ces intérêts en tant que province du Canada.

En tant que pays indépendant, nous pourrions mieux utiliser l’argent que nous envoyons actuellement à Ottawa. Le gouvernement du Canada dépense des milliards dans des domaines qui ne concernent pas la majorité des Québécois. Des exemples sont nombreux: les dépenses militaires intensives, les subventions au pétrole, le Sénat, le Gouverneur général, la monarchie, etc. Au titre des dépenses militaires, le Canada a plus que doublé son financement au cours des 14 dernières années (10,1 milliards de dollars en 1998-1999 à 21,7 milliards de dollars En 2013-2014). Le plan de défense 2008-2028 du Canada coûtera 490 milliards de dollars. Par conséquent, Ottawa exigera que nous dépensons près de 113 milliards de dollars pour les militaires alors que nous sommes obligés de réduire les dépenses en santé et en éducation. Le plan comprend plus de 33 milliards de dollars pour l’achat de nouveaux navires pour la Marine royale du Canada, dont un penny sera dépensé au Québec, même si le chantier naval de Lévis est l’un des meilleurs du monde. Parmi ces exemples de dépenses forcées, il faut ajouter l’achat de plus d’un milliard de dollars par année de services payés par le Québec à l’Ontario via le gouvernement du Canada. Étant donné que la majorité de la fonction publique canadienne est établie sur le territoire de notre voisin, elle bénéficie largement de l’argent que nous payons dans les impôts. L’indépendance nous permettrait de ramener la majeure partie de cette activité économique.

En outre, de nombreux programmes ou départements canadiens dépensent beaucoup moins au Québec que leur poids économique ou démographique mériterait. En tant que pays indépendant, nous cesserons de payer pour la Commission canadienne du blé, qui profite principalement à l’Ouest. Nous cesserons également de payer pour le programme nucléaire canadien, dont les dépenses sont principalement réalisées en Ontario. Le Canada compte 22 réacteurs nucléaires, dont 20 en Ontario. Le Québec n’en avait qu’un, Gentilly, qui sera fermé pour des raisons économiques. En tant que pays indépendant, nous cesserons de payer pour Pêches et Océans Canada, dont les dépenses sont engagées principalement en Colombie-Britannique et dans les provinces maritimes. Un autre exemple frappant est le système des crédits d’impôt canadiens qui nous sanctionne pour certains de nos choix sociaux. Par exemple, notre programme de garde d’enfants nous coûte 149 millions de dollars en crédits d’impôt parce que les coûts des services de garde sont plus bas au Québec que le reste du Canada. La situation est la même pour les frais de scolarité, nous choisissons de garder nos frais de scolarité pour promouvoir l’accès à l’école. Le système canadien, organisé autour de la réalité d’autres provinces, prive les étudiants du Québec de 100 millions de dollars en crédits d’impôt canadiens non utilisés.

Nous devons également tenir compte des économies importantes qui pourraient être réalisées en éliminant le double gouvernement. En tant que pays indépendant, nous ne devrions pas payer deux ministères des finances, de la santé, des revenus, des ressources naturelles, des relations internationales, etc. Les fonctionnaires canadiens de ces ministères consacrent beaucoup de temps à administrer des programmes parallèles qui pourraient être rationalisés ou éliminés si le contrôle Est passé au Québec. L’un des exemples les plus absurdes d’un tel dédoublement est celui du ministère de la Santé du Canada, qui emploie 9079 employés mais ne gère qu’un seul hôpital. Pour ajouter à tout cela, plusieurs études ont été faites sur les effets que l’indépendance aurait sur les finances publiques du Québec. Le dernier a été réalisé par Stéphane Gobeil qui a clairement montré que les économies seraient de l’ordre de 7,5 milliards de dollars, alors que les coûts seraient de 5,5 milliards de dollars. Donc, en tant que pays indépendant, nous économiserons environ 2,0 milliards de dollars la première année. Dans le passé, d’autres études sur cette question ont tous démontré les avantages de l’indépendance. En 1994, Jacques Parizeau a commandé une étude sur les coûts et les revenus d’indépendance du ministre de la Restructuration, qui a indiqué que nous aurions économisé près de trois milliards en 1995. En 2005, le budget de l’année 1 de François Legault a estimé que l’indépendance générerait plus de cinq milliards de dollars excédentaires. Avec les économies générées par l’indépendance, notre marge de manœuvre serait plus large, ce qui nous permettrait d’avoir plus de choix. Par exemple, un gouvernement plus interventionniste pourrait investir dans nos secteurs stratégiques, un gouvernement plus conservateur pourrait réduire nos impôts, alors qu’un autre gouvernement de gauche pourrait réinvestir en matière de santé et d’éducation.

Globalement, être une province du Canada ne nous profite pas économiquement. Nous avons tout le potentiel de devenir une nation riche, libre et prospère. Déjà comme une province seule, nous avons une économie moderne et diversifiée qui se compare favorablement à celle de nombreux pays souverains. Cependant, pour faire face aux défis économiques à venir et pour trouver des solutions qui répondent réellement à nos besoins, nous devons décider de notre avenir économique. Notre subordination politique nous laisse néanmoins très peu de marge de manoeuvre. L’indépendance n’apportera pas le paradis sur terre. Nous devrons toujours faire face à un certain nombre de problèmes économiques comme la gestion des ressources naturelles, la gestion des finances publiques, la défense de nos intérêts économiques, la lutte contre la pauvreté, l’amélioration des conditions de vie, etc. La différence est que nous aurons tous les outils qui nous permettent de Relever ces défis. En bref, nous aurons le pouvoir de mettre en action notre propre vision économique et d’entreprendre des projets qui correspondent à cette vision.

Le génocide des francophones au Canada

Il était une fois une terre de paix, accueillante et tolérante appelé le Canada. Cette terre était remplie de gens de partout dans le monde qui vivaient ensemble en harmonie. Chaque groupe a apporté quelque chose d’unique de leur patrie et a contribué à une mosaïque ethnique intéressante à cette merveilleuse mosaïque d’identités ethniques. Ce paradis de carreaux multicolores s’étend du Pacifique à l’Arctique à l’Atlantique à une exception près: la province de Québec. Au Québec, les gens étaient contre la magnifique mosaïque. Ils ne voulaient pas être une tuile dans la mosaïque. Ils n’ont pas compris la diversité. Ils ont forcé leur langue et leur culture sur tous. Fondamentalement, ils étaient des xénophobes racistes. C’est l’image du Canada et du Québec qui est régulièrement présentée dans les médias canadiens anglos et qui est considérée vrai par de nombreux Canadiens. Le multiculturalisme canadien est considéré comme la plus grande de toutes les vertus et le rejet de cette idée ne peut être que du racisme et de la petite mentalité. Il est vrai que les Québécois ont tendance à voir le multiculturalisme et l’immigration différemment des Canadiens, mais peut-il y avoir d’autres raisons que la xénophobie simple?

Avouons-le, le Québec a une histoire très différente du reste du Canada. Le Québec a été conquis par une armée étrangère et a vu des étrangers arriver et prendre position de pouvoir dans sa société. Après la Révolution américaine, des milliers de Loyalistes de l’Empire britannique se sont installés au Québec. Ils ne sont évidemment pas venus s’intégrer dans notre société, c’était maintenant leur pays et nous étions ceux qui devaient assimiler. En 1837, les Québécois se sont mis en colère contre leurs occupants mais ont échoué. Le rapport de Lord Durham a été le résultat. Lord Durham a fait trois recommandations:

L’union du Haut-Canada (Ontario) et du Bas-Canada (Québec) en une seule colonie
L’assimilation des Canadiens français
L’octroi d’une responsabilité ministérielle ou d’un gouvernement responsable

C’est le deuxième qui a rendu bien des gens inquiets au Québec. L’idée était de noyer les Québécois dans une mer d’Anglos grâce à une immigration massive des îles Britanniques. Durham a estimé que l’union politique du Haut et du Bas-Canada était cruciale pour établir une majorité loyale et anglaise qui angliciserait les Canadiens français et permettrait alors de leur accorder une responsabilité ministérielle.

L’immigration ne serait plus laissée à des choses aussi imprévisibles que les révolutions américaines ou les famines irlandaises. Il s’agirait maintenant d’un effort organisé en génie social pour provoquer la disparition de la population francophone qui était encore la majorité en 1840. En 1850, les francophones étaient devenus une minorité dans la province du Canada et, en 1871, ils ne composaient que 31 % de la population. Aujourd’hui, nous représentons 23% de la population du Canada, ce qui est malgré un taux de natalité prodigieux qui n’a commencé à diminuer que dans les années 1960. Cependant, nous n’avons toujours pas complètement été noyé à la consternation de beaucoup dans le Canada anglais. Après la vague initiale d’immigrants britanniques, des gens d’autres parties du monde ont commencé à arriver. Au Québec, où l’argent et le pouvoir étaient fermement aux mains des anglais, les immigrants avaient peu d’intérêt pour nous. Certains immigrants se sont joints à nos rangs, principalement d’autres catholiques comme les Irlandais ou les Italiens, mais même dans ces communautés, la majorité pouvait voir qu’il valait mieux rejoindre l’anglais qu’une minorité pauvre et impuissante. Ce n’est qu’après la Révolution tranquille du Québec, lorsque nous avons repris le contrôle de notre société, que nous avons tenté de contrôler la nature de l’immigration au Québec. La Charte de la langue française a probablement eu le plus grand impact en exigeant que les enfants d’immigrants fréquentent les écoles françaises. Aujourd’hui, environ la moitié de tous les immigrants au Québec se retrouvent francophones. Ce n’est toujours pas suffisant, mais ce sera toujours une lutte pour nous en tant que minorité au Canada. Il est vrai que les Québécois sont toujours prêts à aller devant les barricades pour défendre leur identité, mais compte tenu de notre histoire, est-ce vraiment très surprenant?

La plupart des Canadiens se considèrent comme formant une seule nation composée de tous les citoyens canadiens. Leur nation est le Canada dans son ensemble. Le Canada est considéré par eux comme un État-nation unique et non comme un État multinational. Il y a une nation canadienne mais il n’y a pas de nation québécoise. Ce fut le point de vue du regretté Pierre Trudeau qui a vu le Canada composé d’une nation, de deux communautés linguistiques, de cinq régions économiques, de dix provinces, de deux territoires et d’une mosaïque multiculturelle. De nos jours, la plupart des Canadiens approuvent ce point de vue, et la plupart d’entre eux rejettent l’existence d’une nation québécoise. La motion machistavienne de «nation québécoise» de Harper en 2006 confirme ce point de vue. La demande de reconnaissance du caractère binational et biculturel du Canada a d’abord été faite par la Commission royale sur le bilinguisme et le biculturalisme dans les années 1960, présidée par André Laurendeau et Davidson Dunton. Et cette demande a été faite par tous les gouvernements

La fiction de Trudeau d’un Canada composée d’une nation avec deux communautés linguistiques, divorcées de la culture et du territoire nationaux, prétend qu’il y a une sorte d’égalité entre ces deux communautés linguistiques et dit aux immigrants qu’ils peuvent choisir quelle langue qu’ils veulent d’un océan a l’autre, ça n’a pas d’importance. Nous sommes tous une nation…je me demande ce qu’ils choisiront, la langue parlée par 2/100 personnes sur ce continent ou l’autre. Choix difficile! Le Québec est alors représenté comme le méchant en raison de ses lois linguistiques qui ne permettent qu’aux immigrants d’envoyer leurs enfants dans les écoles françaises. Ils prétendent que leurs objections sont fondées sur le principe de «liberté de choix». Il est facile d’être pour la liberté de choix lorsque vous savez que les chances sont empilées en votre faveur. Une autre chose à propos du multiculturalisme est qu’il ne semble pas fonctionner si bien dans d’autres pays comme, par exemple, la Suède. Les immigrants ont tendance à devenir ghettoïsés et aliénés de leur pays hôte. Cette situation a même provoqué des violences et des émeutes. Il y a juste quelque chose de différent sur la situation canadienne qui rend l’assimilation immédiate des immigrants.

La réalité est que les Canadiens peuvent être tellement décontractés à propos de l’immigration parce qu’ils savent qu’avec très peu d’efforts de leur part, leurs immigrants, à terme, finiront comme anglophones nord-américains grâce à l’hégémonie culturelle et linguistique des Voisins géants dans le sud. Après cela, vous avez juste besoin de quelques publicités de Tim Hortons pour les transformer en Anglophones nord-américains. Le multiculturalisme canadien dépend de la domination de la culture américaine sur ce continent. Bien sûr, ces forces travaillent contre nous au Québec. Nous savons par expérience que, sans aucun effort de notre part, sans établir de règles et d’insister, la même chose se passera ici. C’est-à-dire que nos immigrants finiront aussi par être des Anglos nord-américains. Nous ne pouvons donc pas avoir la même attitude que les Canadiens. Mais les médias canadiens ignorent tout le contexte et nous dépeignent simplement comme des fanatiques à tout moment, nous essayons de nous affirmer sur ces questions.

Si les Canadiens se sentent en sécurité aujourd’hui, ce n’était certainement pas le cas dans le passé. Il y a eu un moment où les Canadiens anglais avaient une peur palpable de l’autre avec son taux de natalité monstrueux. C’était une crainte que cette «autre» propagation, prise en charge et destruction de ce qui était bon et britannique au Canada. Et il fallait qu’il soit arrêté! L’auteur britannique Hilaire Belloc a probablement résonné le meilleur quand il a écrit ce qui suit lors de la visite du Canada en 1923:

Hilaire Belloc
“Les Français sont partout en pression sur la civilisation qui a la machine officielle en son pouvoir. Ils vont à l’Ouest et établissent des îles dans les espaces vides. La contre-proposition consiste à appeler les immigrants à tout prix de n’importe où. Il s’agit d’un système contre la fécondité grotesque des francophones. Tout est une bataille entre quelque chose de profondément enraciné, indigène et prodigieusement expansif contre quelque chose d’importé et avec des racines peu profondes ”

La réponse est venue avec toute une série de lois anti-français qui apparaissent dans pratiquement toutes les provinces canadiennes à l’extérieur du Québec. L’Ontario, par exemple, a commencé à imposer des tests d’anglais à tous les enseignants en 1885. En 1890, une loi a été adoptée déclarant que l’anglais doit être la langue de l’éducation, sauf lorsque les enfants ne peuvent pas le comprendre. En 1891, les livres scolaires français étaient interdits. Cependant, les choses ont empiré au début du 20ème siècle, ce qui a vu un afflux assez important de francophones du Québec à la recherche de travail. Un recensement à l’époque a montré que les Franco-Ontariens représentaient 10% de la population de l’Ontario. C’était une nouvelle explosive. Le futur Premier ministre, Howard Ferguson, a parlé du «mal français» et a déclaré que si rien n’était fait pour arrêter cette invasion de francophones, cela détruirait l’essence anglo de l’Ontario. Selon M. Ferguson, l’Ontario devait encourager les traditions britanniques afin d’avoir une «race plus viril».

Le règlement 17 est devenu loi en 1912 et interdit fondamentalement l’éducation du français en Ontario au-delà des deux premières années. Il a donné au ministre de l’éducation le pouvoir de licencier un enseignant qui ne s’est pas conformé et le pouvoir de suspendre tout le conseil scolaire. La loi a été modifiée en 1927 pour permettre l’enseignement primaire bilingue et certaines études secondaires pourraient également être en français. Ce n’est qu’en 1944 que cette loi était simplement, non renouvelée. Cependant, il n’y avait pas de véritable argent public consacré à l’éducation française en Ontario jusqu’en 1968. Il n’y avait pas de commissions scolaires françaises jusqu’aux années 1980 et les Franco-Ontariens ne l’ont pas réellement regagné jusqu’en 1997 (quelque chose qu’ils avaient perdu en 1912).

Cette histoire est, bien sûr, simplement balayée sous le tapis par la plupart des Canadiens. N’est-ce pas un exemple classique de xénophobie ou de racisme? N’est-ce pas un exemple d’intolérance contre un groupe de personnes qui les a littéralement défavorisés jusqu’à récemment? Cette histoire n’a-t-elle jamais entré dans l’esprit des Canadiens lorsqu’ils se lèvent sur leurs chevaux pour nous donner des conférences sur la tolérance et l’inclusivité?

Les problèmes du multiculturalisme

Ah oui, le multiculturalisme Sioniste et ces effets dégoutants et répréhensibles sur le monde et le Québec. Bien sûr, les Français connaissent déjà mieux que les Québécois les effets dévastateurs des politiques multiculturelles de nos gouvernements diriger par les Francs-Maçons mais plongeons plus en détail dans le sujet.

La plupart des personnes instruites, lorsqu’elles entendent le mot «multiculturalisme», l’assument comme synonyme de diversité. Il n’est pas surprenant, car le mot semble être une conjonction de “multi” (beaucoup) et “culturelle” (cultures). Donc, la conclusion logique est que le multiculturalisme est simplement une doctrine qui dit que le mélange de beaucoup de cultures ensemble est bon. Cependant, le «multiculturalisme» n’est pas la même chose que la diversité culturelle. Dans la théorie politique, le multiculturalisme se réfère à une approche adoptée par les États pour négocier la relation entre les cultures spécifiques et les autres membres de la société. Les politiques multiculturelles tentent de construire un pont entre l’État et les communautés minoritaires en recherchant des organisations et des dirigeants particuliers pour agir en tant qu’intermédiaires. Les politiques multiculturelles acceptent que la société soit diverse mais impliquent implicitement qu’une telle diversité se termine au bord des communautés minoritaires. En d’autres termes, ils institutionnalisent la diversité en mettant les gens dans des boîtes ethniques et culturelles et en définissant leurs besoins et leurs droits en conséquence.

Les politiques multiculturelles tendent à renforcer les différences entre les groupes basés sur les identités ethniques et religieuses. Ils accordent certains “droits collectifs”, souvent au détriment des droits individuels. Ils privilégient la tradition sur le modernisme et la communauté sur les droits fondamentaux de l’homme en soutenant et en faveur des leaders religieux traditionnels. En un sens, le multiculturalisme est un rejet des valeurs modernes des Lumières. Il est enraciné dans la conviction que la citoyenneté universelle, l’égalité devant la loi et l’égalité des chances sont insuffisantes et que l’État doit travailler activement pour protéger les cultures et les croyances des communautés d’immigrés en accordant des privilèges sur la base de l’appartenance à ces groupes religieux ou ethniques . En tant qu’initiative, le multiculturalisme englobe diverses approches, pas toutes incompatibles avec l’illumination, le libéralisme ou la modernité. Cependant, il tend à mettre davantage l’accent sur la diversité que sur l’égalité des droits et l’égalité des chances pour tous. Ses défenseurs appuient souvent le pluralisme de la valeur et le relativisme moral: l’idée que les différentes perspectives morales (à la fois celles qui respectent la liberté individuelle et les idéologies théocratiques ou fondamentalistes qui ne le sont pas) sont tout aussi légitimes.

Les cultures, cependant, ne sont pas homogènes mais complexes. Le multiculturalisme tente de décrire des groupements lâches d’individus ayant des antécédents, des religions ou des langues similaires en tant que «culture», puis suppose que les individus divers dans cette culture appartiennent à la même «communauté». Loin de protéger, par exemple, «tous les Juifs» ou «tous les musulmans» des généralisations, cela renforce la fiction politique de l’unité culturelle ou religieuse. Plutôt que de faire appel aux musulmans et aux autres minorités en tant que citoyens, le multiculturalisme suppose que la fidélité des minorités est leur foi ou leur communauté ethnique. En effet, les gouvernements qui adoptent des politiques multiculturelles sous-traitent leurs responsabilités politiques envers les dirigeants minoritaires, qui représentent rarement leur communauté entière et se situent habituellement dans la limite plus conservatrice du spectre. Cela peut conduire à une situation absurde, comme lorsque l’Ontario envisageait de permettre aux tribunaux musulmans basés sur la foi, c’est-à-dire la charia, dans son système de justice.

Au Canada anglais, le multiculturalisme reste une vache sacrée. Le terme est souvent utilisé contrairement à l’intolérance ou même au racisme, comme si quelqu’un qui le critique doit être un xénophobe qui déteste les immigrants. Mais en réalité, le multiculturalisme est lui-même un cousin du racisme, Djemila Benhabib l’appelle «multiracisme», parce qu’il exagère l’importance de la communauté dans laquelle on est né, au détriment de son individualité. Les politiques multiculturelles encouragent essentiellement les communautés immigrantes à s’accrocher à la culture du pays qu’elles ont laissé. Cela peut conduire à des communautés insulaires et ghettoises. Le Canada a été plus immunisé contre les effets négatifs du multiculturalisme que de nombreux autres pays, principalement parce qu’il partage une langue et une culture avec l’hégémonie mondiale. Le multiculturalisme canadien dépend de la domination de la culture américaine sur ce continent pour maintenir sa «mosaïque» multiculturelle.

Ce n’est tout simplement pas vrai pour nous au Québec. En fait, le contraire est vrai. Notre existence est en résistance à la culture dominante sur ce continent. Les politiques multiculturelles du Canada, qui fonctionnent si bien au Canada anglais, ne sont pas du tout adaptées à notre réalité au Québec, mais elles nous sont imposées de toute façon. Le Canada n’a jamais été un pays très bien défini. En fait, il y a toujours eu des interprétations largement divergentes de ce qu’était vraiment la Confédération, la fondation de ce pays. À George-Étienne Cartier, procureur général du Canada-Est pendant les négociations sur la Confédération et principal chef du Canada français, il représentait un pacte entre deux pays. Cela ressort clairement de ce qu’il a écrit à La Minerve le 1er juillet 1867:
“Telle est […] la signification que nous devons attacher à cette constitution, qui reconnaît la nationalité canadienne-française. En tant que nationalité distincte, nous formons un État dans l’État dans le plein exercice de nos droits et la reconnaissance formelle de Notre indépendance nationale “.

D’autres ont vu la Confédération comme un pacte entre les provinces. Après tout, ce sont les provinces britanniques d’Amérique du Nord (à certaines exceptions près) qui se sont réunies pour créer le gouvernement fédéral. Cependant, lorsque la Ligue anti-Confédération en Nouvelle-Écosse a remporté 36 des 38 sièges dans la législature provinciale et 18 des 19 sièges au niveau fédéral, peu de temps après la Confédération, ils ont constaté qu’il n’y avait, en fait, aucun moyen de sortir après que la Grande-Bretagne a refusé la sécession. La nature impériale du Canada leur est apparue en ce moment. John A. Macdonald, en revanche, était en faveur de l’union législative, à savoir un État unitaire avec un seul Parlement pour l’ensemble du Canada. Il n’a pas compris, mais dans une large mesure, Macdonald a réussi le type de fédéralisme centralisé qu’il souhaitait. Les pouvoirs de désaveu et de réserve au fédéralisme canadien le rendent parfaitement clair.

Néanmoins, au début de la Confédération, il semble y avoir une certaine acceptation de la nature binationale du Canada, comme le montre la Loi sur le Manitoba. Mais cette acceptation a été rapidement rejetée par la fenêtre à mesure que la démographie de ce pays a changé et que le Canada est devenu le Canada britannique, ce qui a permis de tolérer le français au Québec parce qu’il était encore la langue majoritaire. Dans les années 1960, les francophones du Québec ont commencé à rejeter leur statut de deuxième classe et voulaient devenir «maîtres dans leur propre maison». Il y avait aussi une demande croissante pour la reconnaissance du caractère binational et biculturel du Canada et cela a même été mené avec la menace de «l’égalité ou l’indépendance». Le Canada a répondu en créant la Commission royale sur le bilinguisme et le biculturalisme, sous la présidence d’André Laurendeau, rédacteur en chef de Le Devoir, et Davidson Dunton, président de l’Université Carleton. Cette commission a convenu que le Canada devrait reconnaître officiellement sa nature binationale. Mais au lieu de cela, le Canada a adopté une politique de multiculturalisme. Il faut souligner que cette politique de multiculturalisme a été adoptée en 1971 dans le cadre du gouvernement de Pierre Elliott Trudeau comme réponse aux prescriptions contenues dans le rapport de la commission et que l’ascension soudaine de Trudeau au pouvoir à cette époque était en grande partie due à sa forte opposition au nationalisme Québécois.

Un de ses objectifs dans l’adoption de cette politique était indéniablement de noyer le nationalisme québécois dans une mer de cultures multiples, remplaçant ainsi «bi» par «multi». Alors, alors que le multiculturalisme était consacré dans la constitution de Trudeau en 1982, on ne mentionne pas l’existence d’une Nation québécoise. Le Canada est décrit comme une nation unique, bilingue et multiculturelle. En reconnaissant une multitude de cultures, le multiculturalisme nie toute notion de dualité et annule l’affirmation québécoise du caractère distinctif sur la base de la culture. Donc, nous sommes devenus l’un des pays fondateurs du Canada (du moins, c’est ce que nous avons vu) à une minorité ethnique semblable à celle des groupes d’immigrants récents. Ce n’est pas que nous croyons que nous sommes plus «spéciaux» que les Canadiens italiens ou ukrainiens. Mais soyons honnêtes, la culture italienne ou ukrainienne n’a pas été créée au Canada. Ce sont des cultures vivantes et évolutives en Italie et en Ukraine, pas au Canada. Les communautés d’immigrants se contentent de s’accrocher à la culture de l’ancien pays et d’essayer de passer à la prochaine génération comme une sorte d’héritage familial. Le multiculturalisme encourage ce comportement, mais malgré ces efforts, chaque génération devient de plus en plus assimilée à la culture dominante du pays hôte.

Nous ne sommes pas plus des immigrants français au Canada que les Brésiliens sont des immigrants portugais au Brésil. Notre culture est une culture francophone et nord-américaine de 400 ans qui a toujours été diverse à sa manière. Il peut être trouvé (ou des restes) sur tout ce continent. Aujourd’hui, cependant, ce n’est qu’au Québec qu’on peut trouver une culture vivante qui peut évoluer et intégrer les nouveaux arrivants. Nous étions notre nation distincte bien avant la Confédération. Nous ne sommes pas seulement une autre mosaïque ethnique dans la mosaïque multiculturelle anglaise du Canada. Ce multiculturalisme canadien sans aucune reconnaissance constitutionnelle du caractère distinctif du Québec est une politique intrinsèquement assimilationniste.

Bashar al-Assad contre (((l’Occident)))

Tout comme le président Vladimir Poutine de Russie, le président de la Syrie, Bashar Hafez al-Assad, a été victime d’attaques implacable sur sa personne et de faux rapports par les médias de l’Occident. Pourquoi…Les vraies réponses à cette question sont aussi profondes qu’elles sont de grande envergure. À un niveau assez superficiel, Assad représente le connardà la fête. L’axe anglo-américain a un agenda et un calendrier prédéterminé; et, ils ne laisseront aucune nation ou un leader politique s’engager sur son chemin. Un médecin qualifié comme Assad était considéré comme le moindre de ses problèmes pendant les événements chorégraphiés du printemps arabe. Après tout, les médecins partout prennent le vœu sacré connu sous le nom de serment d’Hippocrate – “Tout d’abord, ne faites pas de mal”. Les intermédiaires israélo-franco-anglo-américains, qui ont contrôlé le destin de la plupart des pays du Moyen-Orient depuis des décennies, sont entrés dans une phase de conquête nouvelle et désespérée. Malheureusement pour tout le Moyen-Orient, ce désespoir s’est manifesté comme la fomentation d’un certain nombre d’événements révolutionnaires du printemps arabe. La mort et la destruction généralisées qui en résultent reflètent la détermination dea agents impériaux à faire progresser leur agenda de porcs sionistes.

Alors que chacun de ces mouvements de protestation modifiés a été initié par les (((agents impériaux))), tous n’ont pas été entièrement réussi. Alors que la CIA, le MI6 et MOSSAD peuvent avoir la majeure partie du Moyen-Orient câblé par des technologies ‘informations, de nombreux peuples autochtones restent encore loin de leur grille, à des degrés divers bien sûr. Néanmoins, ils s’attendaient toujours à ce que Assad démissionne simplement après que tant d’autres pays aient succombé aux révolutions Facebook et aux guerres civiles dirigées par la CIA via Twitter. Le président Assad, ils sont venus le découvrir, est un être complètement différent. Non seulement il n’est pas de leur classe, sa présence même sur l’échiquier géopolitique du moyen-orient leur cause une grande consternation Pourquoi? Parce que le président Assad a une conscience contraire aux nombreux autres dirigeants qui gouvernent clairement sans aucune conscience. Bien sûr, le leadership des agents impériaux a démontré à maintes reprises qu’il fonctionne sans aucune conscience discernable. Donc, dépourvu de boussole morale, les envahisseurs américains, français et britanniques affirment que le leadership continu d’Assad les rend tous malade.

En raison de l’importance géopolitique stratégique de la Syrie, les (((agents impériaux))) ne peuvent plus tolérer un courtier de la paix ni un leader juste dans un emplacement aussi vital et une position de leadership. La plupart ignorent complètement, mais le président Assad est aussi juste et fondé sur des principes de respect des minorités, en particulier dans le Moyen-Orient. La seule façon dont la famille al-Assad a pu rester au pouvoir depuis 1970 (45 années consécutives) était en raison du caractère familial de leur parti.

Il existe diverses raisons pour le gouvernement si populaire du Président Assad et le style de leadership respecté parmi les Syriens. Quatre d’entre eux sont devenus particulièrement ressorti pendant cette période de grands procès et tribulations pour la nation.
1:
D’abord et avant tout, le dévouement inébranlable de Bashar al-Assad aux traditions spirituelles et à la foi religieuse de sa famille. Étant un praticien ardent de la religion alaouite comme son père et ses ancêtres avant lui, Assad a tiré une grande force de cette branche mystique et tolérante de l’islam chiite. Il est entré dans la profession médicale et s’est formé comme ophtalmologiste en raison de son désir de servir le peuple syrien. Également connus sous le nom de Alawis, les alaouites “sont un groupe religieux de premier plan, centré en Syrie, qui suivent une branche de l’école duodécimain de l’Islam chiite, mais avec des éléments “. Parce que sa communauté religieuse avait subi des persécutions religieuses et beaucoup d’autres indignités, des générations avant la présidence de son père, il est très sensible au besoin de la tolérance religieuse. Particulièrement dans le contexte de la diversité religieuse historique de la Syrie, les Alaouites se sont-ils élevés pour assurer le leadership cohérent nécessaire pour maintenir la paix et l’acceptation mutuelle? Cette réalisation remarquable s’est produite au cours des décennies où de nombreuses nations voisines ont subi le sort d’un gouvernement Sunnite extrémiste.

2:
Comme c’est souvent le cas, le mariage d’Assad révèle comment une femme forte existe souvent derrière chaque grand chef. Dans la personne de sa femme, Bashar Assad trouva le “pouvoir” parfait derrière son trône “. Du point de vue strictement politique, elle a été élevée dans une puissante famille sunnite qui l’aidait à la majorité sunnite de la Syrie. En raison de son choix d’une femme sunnite, le président Assad a été considéré comme un leader qui a sincèrement appliqué son acceptation authentique de toute orientation religieuse trouvée dans les limites de la Syrie. Elle a non seulement cherché à aider à libérer son genre dans tout le pays, la Première Dame a également servi d’exemple incontournable dans une grande partie de la société islamique. Ses diverses initiatives sans précédent et courageuses pour répandre l’illumination et l’autonomisation dans toutes les sphères de la vie syrienne ont été reconnues par beaucoup pour leur efficacité et leur magnanimité. Asma al-Bashar occupe une position unique dans les sociétés hautement patriarcales du Moyen-Orient. Être présenté côte à côte avec son mari dans sa capacité de Première Dame, comme c’est souvent le cas, a fourni à la culture arabe et islamique dominée par les hommes un nouveau modèle de leadership. Alors que le président Assad est évidemment responsable, il a donné à sa femme un rôle particulier dans les divers mandats de l’Administration pour aborder toute une série de questions sociales, culturelles et religieuses.

3:
Le soutien loyal et authentique du peuple syrien, dont la famille Assad a profité pendant près de 5 décennies, a débuté avec Hafez al-Assad. Un homme qui est considéré comme l’un des plus grands fils de la Syrie. S’il n’aurait pas pris une position aussi décisive à ce point critique, la Syrie aurait pu facilement entrer en éruption dans une guerre civile pleine d’émoi menée par les conflits religieux. Un style de leadership humble et pratique est-ce qui a distingué Hafez al-Assad des le début de sa présidence. Bien que son fils Bashar ait été formé en tant que médecin qui n’avait aucune aspiration politique, il suivait tout naturellement les traces de son père. Formé en ophtalmologue, Bashar a eu la sensibilité et le tempérament d’un leader très réticent au début. Cependant, il s’est rapidement rendu compte qu’il ne pouvait pas se soustraire à la responsabilité solennelle que le destin lui avait apportée. En raison de son approche égalitaire de la gouvernance et de son souci sincère pour la cohésion de la Syrie, il fut rapidement accepté par le peuple comme un remplaçant idéal pour son père. Le peuple syrien a surtout embrassé sa femme socialement dynamique et progressive Asma et les a reçus à bras ouverts. Ils sont devenus un couple exemplaire qui ont été admirés pour leur véritable dévouement aux intérêts de chaque citoyen syrien.

4:
La Russie s’est fortement opposée à toute ingérence belliqueuse dans les affaires intérieures des nations souveraines. Le président Poutine a déclaré à maintes reprises qu’il devait y avoir une nouvelle plate-forme mondiale de relations internationales fondée sur un respect implicite de la souveraineté nationale. Il a exprimé que la communauté mondiale des nations est obligée de rejeter l’ingérence extérieure de ces nations puissantes qui commettent systématiquement des actions agressives. En fait, la Russie, la Chine et l’Inde ont souligné à maintes reprises aux États-Unis et au Royaume-Uni leur ingérence absolue dans les affaires des pays grands et petits, riches et pauvres. Dans ce but, ils ont proclamé leur soutien au seul gouvernement légitime de la Syrie sous la direction de Bashar al-Assad. Poutine a même fourni à la Syrie des armes sophistiquées qu’il ne fera que dans le cas où des actes d’agression non provoqués sont systématiquement perpétrés contre le peuple syrien.

La principale stratégie géopolitique utilisée par l’axe anglo-américain-sioniste au cours des 100 dernières années dans l’ensemble du Moyen-Orient a été celle de la division et de la conquête. En utilisant les agences de renseignements et les services secrets d’Israël, les (((agents impériaux))) ont pu semer des graines de mécontentement parmi les sunnites et ou les chiites dans n’importe quel pays dont il souhaite contrôler. Les révolutions fabriquées et les faux mouvements de protestation du printemps arabe sont des exemples parfaits de cette subversion directe. Comme toujours, les (((agents impériaux))) ont cyniquement incité ces rivalités religieuses en Syrie, qui existe depuis des siècles, entre les sunnites et les chiites, et entre les chrétiens et les musulmans. Il y a eu de nombreux cas où les sunnites et les chiites ont pu coexister pacifiquement. Néanmoins, un faux flagrant attentat ou assassinat au drapeau peut compromettre rapidement cette paix. Combien de fois un seul kamikaze qualifié de MOSSAD a-t-il transformé une ville ou une communauté en un tas de déchets?

Israël/US/ISIS, différents noms pour désigner la même chose

Les sales du Deep State Muricains et du Mossad Israélien ne donne aucun répit a L’Iran et aux Chrétiens d’orient, ces pauvres. Encore une fois les agents impériaux font leur sale travail de désinformation et de destruction en douce, dans l’ombre. Plusieurs ont été laissés pour morts et beaucoup plus blessés après des attaques terroristes coordonnées contre la capitale iranienne de Téhéran. Les tirs et les bombardements ont ciblé le parlement iranien et la tombe de l’ayatollah Khomeini. Selon Reuters, le soi-disant “État islamique” a revendiqué l’attaque, qui s’est déroulée quelques jours après une autre attaque terroriste à Londres. L’état islamique aurait également assumé la responsabilité de la violence à Londres, malgré l’apparition de preuves que les trois suspects concernés étaient connus depuis longtemps par les agences britanniques de sécurité et de renseignement et ont simplement été autorisés à tracer et à mener leurs attaques. Il est beaucoup moins probable que le gouvernement de Téhéran dirige les terroristes, car il a été engagé pendant des années dans la lutte contre le terrorisme à la fois sur ses frontières et en Syrie au milieu d’une vicieuse guerre de six ans alimentée par des armes américaines, européennes et du golfe Persique.

Les récentes attaques terroristes à Téhéran sont le résultat de la politique étrangère des États-Unis. La création d’une force de procuration avec laquelle lutter contre l’Iran et d’établir un refuge pour elle au-delà des frontières de l’Iran a été une politique américaine depuis longtemps. Le chaos actuel qui consomme la Syrie et l’Irak et dans une moindre mesure dans le sud-est de la Turquie, est un résultat direct de la tentative des États-Unis d’assurer une base d’opérations pour lancer une guerre de procuration directement contre l’Iran. Dans le document de l’Institution Brookings de 2009, intitulé “Which Path to Persia? Options for a New American Strategy toward Iran”, l’utilisation de l’organisation terroriste étrangère énumérée par le US State Department, l’Organisation Mujahedin-e Khalq (MEK), en tant que proxy pour inciter l’insurrection armée à part entière.

Le rapport énonçait explicitement:
”Les États-Unis pourraient également tenter de promouvoir les groupes externes d’opposition iraniens, en leur apportant le soutien pour se transformer en insurgés à part entière et même en les aidant à vaincre militairement les forces du régime clérical. Les États-Unis pourraient travailler avec des groupes comme le Conseil national de la résistance de l’Iran (NCRI) basé à l’Irak et son aile militaire, les Mujahedin-e Khalq (MeK), aidant les milliers de ses membres qui, sous le régime de Saddam Husayn, étaient armés et avait mené des opérations de guérilla et de terrorisme contre le régime clérical. Bien que le NCRI soit censé être désarmé aujourd’hui, cela pourrait être rapidement modifié.”

Les décideurs de Brookings ont admis tout au long du rapport que MEK était responsable de tuer des militaires, des politiciens et des civils américains et iraniens dans ce qui était un terrorisme bien défini. En dépit de cela, et les admissions que MEK est resté incontestablement une organisation terroriste, des recommandations ont été faites pour le supprimer du US State Department’s Foreign Terrorist Organization afin que le groupe puisse apporter plus de soutien manifeste pour le changement de régime armé.

Sur la base de ces recommandations et d’un lobbying intensif, le US State Department finirait par supprimer la MEK en 2012 et le groupe recevrait un soutien important des États-Unis ouvertement. Cela comprenait le soutien de nombreux membres de l’équipe de campagne actuelle du président américain Donald Trump – dont Rudy Giuliani, Newt Gingrich et John Bolton. Cependant, en dépit de ces efforts, MEK n’était pas capable, ni maintenant, d’accomplir le but élevé d’inciter à une insurrection à part entière contre Téhéran, ce qui nécessitait l’utilisation d’autres groupes armés. Le journal Brookings de 2009 a fait mention d’autres candidats sous une rubrique intitulée «Potential Ethnic Proxies», identifiant des groupes arabes et kurdes ainsi que des candidats potentiels pour une guerre par proxy américaine contre Téhéran.

Dans une section intitulée “Finding a Conduit and Safe Haven,”, Brookings écrit:
Une importance égale (et une difficulté potentielle) consistera à trouver un pays voisin désireux de servir de canalisation pour l’aide aux États-Unis au groupe des insurgés, ainsi que de fournir un refuge où le groupe peut s’entraîner, planifier, organiser, soigner et réapprovisionner. Pour la guerre de procuration des États-Unis en Syrie, la Turquie et la Jordanie remplissent ce rôle. Pour l’Iran, il est clair que les efforts des États-Unis devraient se concentrer sur l’établissement de conduits et de refuges de la province du Pakistan au sud-ouest du Baloutchistan et des régions dominées par les Kurdes dans le nord de l’Irak, dans l’est de la Syrie et dans le sud-est de la Turquie – précisément où les bouleversements actuels sont alimentés par les États-Unis. Intervention à la fois ouvertement et secrètement.

https://www.brookings.edu/blog/markaz/2017/06/09/isis-attacks-iran-and-accusations-fly/

L’État islamique atteignant l’Iran, le sud de la Russie et même la partie occidentale de la Chine n’était pas seulement possible, il était inévitable et la progression logique de la politique américaine telle qu’indiquée par Brookings en 2009 et vérifiablement exécutée depuis lors. L’État islamique représente le ”proxy” parfait, occupant le corridor idéal et un refuge pour l’exécution de la guerre de procuration de l’Amérique contre l’Iran et au-delà. Aux alentours de l’État islamique se trouvent les bases militaires américaines, y compris celles illégalement construites dans l’est de la Syrie. Si les États-Unis faisaient la guerre contre l’Iran dans un proche avenir, il est probable que ces actifs coordonneraient ”coïncidemment” contre Téhéran, tout comme ils sont maintenant ”coïncidemmen” coordonnés contre Damas. L’utilisation du terrorisme, des extrémistes et des proxies dans l’exécution de la politique étrangère des États-Unis, et l’utilisation d’extrémistes observant l’État islamique et la domination d’Al Qaïda ont été démontrés définitivement au cours des années 1980, lorsque les États-Unis avec l’aide de l’Arabie saoudite et du Pakistan, ont utilisé Al Qaïda pour expulser les forces soviétiques d’Afghanistan. Cet exemple est en fait mentionné explicitement par les décideurs de Brookings comme modèle pour créer une nouvelle guerre de procuration, cette fois contre l’Iran.

Pour les États-Unis, il n’y a pas de meilleure solution pour Al-Qaïda que son successeur, ISIS. Les décideurs américains ont manifesté leur volonté d’utiliser des organisations terroristes connues pour mener une guerre de procuration contre des États-nations ciblés, ils l’ont déjà fait en Afghanistan et ont clairement organisé le conseil de jeu géopolitique de tous les côtés de l’Iran pour faciliter son programme défini en 2009. Avec des terroristes qui tuent maintenant des gens à Téhéran, il s’agit simplement de vérifier que ce programme avance. L’implication de l’Iran dans le conflit syrien illustre que Téhéran est bien conscient de cette conspiration et ce défend activement contre elle à l’intérieur et au-delà de ses frontières. La Russie est également l’objectif ultime de la guerre en Syrie et est également impliquée dans la résolution.

Le rôle insignifiant mais en expansion de la Chine dans le conflit est directement lié à l’inévitabilité de cette instabilité qui s’étend à sa province occidentale du Xianjiang. Alors que le terrorisme en Europe, y compris la récente attaque de Londres, est considéré comme une preuve que l’Occident est “également” visé par l’État islamique, les éléments de preuve suggèrent autrement. Les attaques sont plus susceptibles d’être exercées pour produire une dénégation plausible. En réalité, l’État islamique, comme Al-Qaeda avant lui, dépend d’un vaste parrainage d’État multinational, le parrainage que les États-Unis, l’Europe et ses alliés régionaux dans le Golfe Persique fournissent. C’est aussi le parrainage qu’ils peuvent, à tous moment démanteler. Ils choisissent simplement de ne pas poursuivre l’hégémonie régionale et mondiale.

L’impérialisme Sioniste

Oui oui mes cabochons, je sais…je suis tellement obsédé par les agents impériaux, mais qu’est ce que vous vouler? Ces chiens ne me donnent et donnent au monde entier, absolument aucun répit, donc une autre journée a démolir ces rats de fond de ruelles.

Les attentats terroristes dans les villes occidentales (Manchester, Paris, Bruxelles, Nice) auraient été perpétrés par Al-Qaïda-ISIS. Pourtant, ces groupes ont été formés et financés par Israël, l’Arabie Saoudite, Quatar et les États-Unis. Les médias de masse évitent d’aborder cette anomalie parce que la guerre est une grande entreprise aux États-Unis, la seule vraie chose qui fait tourner leur économie. Depuis que George W. Bush a déclaré la ”Guerre contre le terrorisme” en octobre 2001, il a coûté au contribuable américain environ 6,6 trillions de dollars et des milliers de fils et de filles morts, mais ces guerres ont également engendrer des milliards de dollars pour l’élite militaire de Washington.

Tout comme Al-Qaïda, l’État islamique (ISIS) est un instrument de terreur conçu pour diviser et conquérir le Moyen-Orient pétrolifère et pour contrer l’influence croissante de l’Iran dans la région. Pour comprendre pourquoi l’État islamique a grandi et a prospéré si rapidement, il faut se pencher sur les racines soutenues par l’Amérique de l’organisation. L’invasion et l’occupation américaines de l’Irak en 2003 ont créé les conditions préalables pour que les groupes sunnites radicaux, comme ISIS, puissent s’enraciner. L’Amérique, plutôt imprudemment, a détruit la machinerie laïque de Saddam Hussein et l’a remplacée par une administration principalement chiite. L’occupation des États-Unis a causé un chômage énorme dans les zones sunnites, en rejetant le socialisme et en fermant les usines dans l’espoir naïf que la main magique du marché libre créerait des emplois.

Selon le nouveau régime chiite soutenu par les États-Unis, la classe ouvrière Sunni a perdu des centaines de milliers d’emplois. Contrairement aux Afrikaners blancs en Afrique du Sud, qui ont été autorisés à conserver leur richesse après un changement de régime, les Sunnites de classe supérieure ont été systématiquement dépossédés de leurs atouts et ont perdu leur influence politique. Plutôt que de promouvoir l’intégration et l’unité religieuse, la politique américaine en Irak a exacerbé les divisions sectaires et a créé un terrain fertile pour le mécontentement sunnite, d’où Al-Qaïda en Irak a pris racine.

Il y a essentiellement trois guerres en Syrie: une entre le gouvernement et les rebelles, une autre entre l’Iran et l’Arabie saoudite, et une autre entre l’Amérique et la Russie. C’est cette troisième bataille de la (neo-Cold war) qui a fait que les décideurs politiques américains décident de prendre le risque d’armer les rebelles islamistes en Syrie, parce que le président syrien, Bashar al-Assad, est un allié russe. Plutôt embarrassant, beaucoup de ces rebelles syriens se sont révélés être des voyous d’ISIS, qui brandissent ouvertement des fusils d’assaut M16 américains. La politique de l’Amérique du Moyen-Orient porte sur le pétrole et Israël. L’invasion de l’Irak a partiellement satisfait la soif de pétrole de Washington, mais les frappes aériennes en Syrie et les sanctions économiques contre l’Iran ont tout à voir avec Israël. Le but est de priver les ennemis voisins d’Israël, le Hezbollah du Liban et le Hamas de Palestine, d’un soutien crucial syrien et iranien. ISIS n’est pas seulement un instrument de terreur utilisé par l’Amérique pour renverser le gouvernement syrien…il est également utilisé pour faire pression sur l’Iran.

La dernière fois que l’Iran a envahi une autre nation était en 1738. Depuis l’indépendance en 1776, les États-Unis ont participé à plus de 53 invasions et expéditions militaires. Malgré ce que les cris de la guerre des médias occidentaux vous feront croire, l’Iran n’est manifestement pas la menace pour la sécurité régionale, Washington l’est. Un rapport de renseignement publié en 2012, approuvé par les seize agences de renseignement américaines, confirme que l’Iran a mis fin à son programme d’armes nucléaires en 2003. La vérité est que toute ambition nucléaire iranienne, réelle ou imaginée, est le résultat de l’hostilité américaine envers l’Iran et non l’inverse.

L’Amérique utilise ISIS de trois façons: attaquer ses ennemis au Moyen-Orient, servir de prétexte à l’intervention militaire des États-Unis à l’étranger et, à la maison, fomenter une menace intérieure fabriquée, justifier l’expansion sans précédent de la surveillance domestique invasive. En augmentant rapidement le secret du gouvernement et la surveillance, le gouvernement Drumpf augmente son pouvoir de surveiller ses citoyens tout en diminuant le pouvoir de ses citoyens de surveiller leur gouvernement. Le terrorisme est une excuse pour justifier la surveillance de masse, en prévision de la révolte de masse.

La soi-disant ”Guerre contre la terreur” devrait être vue pour ce qu’elle est réellement: un prétexte pour maintenir une armée américaine dangereusement surdimensionnée. Les deux groupes les plus puissants de l’établissement de politique étrangère des États-Unis sont le lobby israélien, qui dirige la politique des États-Unis au Moyen-Orient et le complexe militaire-industriel, qui bénéficie des actions du groupe précédent. Depuis que George W. Bush a déclaré la ”Guerre contre la terreur” en octobre 2001, il a coûté au contribuable américain environ 6,6 trillions de dollars et des milliers de fils et de filles déchus…mais, les guerres ont également rapporter des milliards de dollars pour l’élite militaire de Washington.

En fait, plus de soixante-dix entreprises et particuliers américains ont gagné jusqu’à 27 milliards de dollars en contrats de travail en l’Irak et en Afghanistan de l’après-guerre au cours des trois dernières années, selon une étude récente du Centre for Public Integrity. Selon l’étude, près de 75% de ces entreprises privées avaient des employés ou des membres du conseil d’administration, qui avaient servi ou avaient des liens étroits avec le pouvoir exécutif des administrations républicaines et démocrates, des membres du congrès ou des niveaux les plus élevés du complex militaire.

En 1997, un rapport du ministère de la Défense des États-Unis a déclaré: “les données montrent une forte corrélation entre la participation des États-Unis à l’étranger et une augmentation des attaques terroristes contre les États-Unis” La vérité est que la seule façon pour l’Amérique de gagner la ”Guerre contre la terreur” est si elle cesse de donner aux terroristes la motivation et les ressources nécessaires pour attaquer l’Amérique. Le terrorisme est le symptôme; L’impérialisme américain au Moyen-Orient est le cancer. En termes simples, la Guerre contre la terreur est le terrorisme; Seulement, il est mené à plus grande échelle par des personnes avec des jets et des missiles.

La responsabilité de l’occident dans le problème du wahhabisme

L’Occident est responsable de tous les maux, la misère, le chaos, le sang verser et la destruction que le Moyen-Orient a vécue depuis au moins 150 ans. Parmi la liste sans fin des crimes de l’Ouest contre le Moyen-Orient, je voudrais mentionner seulement 2, dont les conséquences ont encore des répercussions aujourd’hui.

Le premier est le wahhabisme. Le wahhabisme avait été déclaré hérésie dès son apparition. Son fondateur et ses partisans ont tous été excommuniés par les savants musulmans de l’époque, les Ottomans les ont écrasés et il était sur le point de devenir une page oubliée de l’histoire de la péninsule arabique jusqu’à ce que la Grande-Bretagne l’ait financé, l’ait armé et leur donne une nouvelle impulsion, une nouvelle vie, une nouvelle légitimité qu’aucun musulman n’a jamais pu lui donner, un État (Arabie Saoudite) et une nouvelle mission. Le wahhabisme avait été déclaré comme faisant non-partie de l’islam dès qu’il est apparu, cette profession de foi a été répétée plusieurs fois plus tard et en septembre 2016 lors de la Conférence islamique tenue à Grozny (et qu’aucun média occidental n’a reporté).

Non seulement aucun musulman ne devrait jamais s’excuser pour les crimes des Wahhabis, comme on l’exige souvent, mais ce sont les Britanniques et les Occidentaux qui devraient s’excuser. Parce que c’est la Grande-Bretagne qui l’a imposé et autorisé à se répandre, c’est l’Occident qui permet encore à ce cancer judaïque de se répandre au milieu des nations musulmanes, c’est l’Occident qui le parraine et, peu importe la façon dont les choses sont mauvaises pour nous en Occident, n’oublions jamais que les premières et principales victimes du wahhabisme sont aujourd’hui les musulmans. Pas l’Ouest. Le deuxième crime que l’Occident a commis contre les peuples du Moyen-Orient, a été la rupture de la Syrie. L’accord de Sykes-Picot avait amputé la Syrie des frontières historiques qui avaient été les siens depuis l’aube de l’histoire, pour donner naissance aux états bâtards de la Jordanie, du Liban et de la Palestine. Et maintenant, ils veulent les diviser encore plus.

Combien d’entre nous ont vraiment réfléchis sur l’arrogance sans précédent de l’Occident qui décide à volonté de dessiner, puis de retracer les frontières, de créer des «États-nations», de leur donner de nouvelles capitales, d’imposer aux populations locales leurs rois / présidents / dirigeants…leur impose au point d’une épée sanglante une «religion» qu’ils n’ont jamais voulue, leur donne des «drapeaux nationaux», des hymnes nationaux, des monnaies nationales, etc. Combien d’entre nous considèrent ceci comme un crime monstrueux contre l’humanité et contre les peuples du Moyen-Orient et un crime contre le berceau de la civilisation? Combien d’entre nous pensent que c’est un crime qui doit être repayé?

Pire encore que cela: l’écrasante majorité des Occidentaux s’opposent à l’annulation de ce crime, se réjouissent que la Syrie ait été rompue dans leur croyance orientaliste / colonialiste selon laquelle rien n’est plus dangereux pour l’Occident qu’une nation arabe forte et unie. Peu de gens le savaient à l’époque et moins d’Occidentaux réalisaient maintenant que la rupture de la Syrie n’était que la première étape vers le projet messianique du Grand Israël. Et donc, toute personne qui prétend être Juif doit également être pro-Syrie, pro Hezbollah, pro-Iran, pro-Moyen-Orient et, pour utiliser une expression MCP toujours utilisé à propos de lui-même, ”un ami de l’Islam”.

Dès le début du temps, la Syrie a toujours été au centre de toutes les batailles géopolitiques et la troisième guerre mondiale va commencer par la Syrie. L’eschatologie islamique nous dit que c’est à Damas que la Résistance musulmane aura son siège et qu’il trouvera refuge. C’est à Damas que l’anti-Christ se révélera au monde en tant qu’être humain. Et c’est à Damas que le Christ, Jésus, le Fils de Marie, le Fils de l’homme reviendront. C’est aussi important que soit la Syrie. Et avant que quelqu’un ne dise «ce n’est pas nous, ce sont les Juifs, c’est les franc-maçons, c’est notre gouvernement, ce sont des éléments corrompus de nos élites, nous n’avons rien à faire, je refuse de culpabiliser à cause des crimes de mon gouvernement» etc. . Je ne poserai qu’une seule question simple qui résume toute la situation et qui obligera l’un à révéler ses vraies couleurs: la Grande Syrie et le Grand Israël: de quel côté êtes-vous?

Le génocide des Chrétiens du moyen-orient

Pourquoi le Vatican garde-t-il le silence sur le massacre des Chrétiens d’Orient par l’islam? Il n’y a pas que les musulmans qui sont à traduire devant le tribunal de l’histoire crime et incitation au crime contre l’humanité en raison d’appartenance à une collectivité identifiable au plan religieux aux termes de l’article 7 du Statut de Rome , il y a leurs alliés objectifs les catholiques et tout particulièrement le Souverain Pontife dont le comportement est des plus troubles et ambigus qui heurtent la conscience humaine.

En effet, on ne voit aucune campagne médiatique catholique d’envergure pour alerter l’opinion publique mondiale sur les persécutions criminelles et abominables des chrétiens d’Orient et ceux du Pakistan et du nord du Nigéria, ni on entend peu de voix catholiques qui s’élèvent et condamnent explicitement le génocide perpétré par l’islam à leur encontre.

Il est de son devoir de dénoncer les actes de barbarie humaine qui visent les véritables héritiers du Message originel du Christ.
Il est scandaleux que des prêtres puissent plaider la cause de l’islam et le couvrir de louanges. Y a t-il une entente tacite voire formelle entre les autorités de l’Eglise catholique et les musulmans dont le but (in)avoué est l’anéantissement du peuple d’Israël et des chrétiens d’Orient auxquels les deux parties vouent une haine viscérale?

Par son silence coupable et inexpliqué l’Eglise romaine semble être prête à sacrifier les chrétiens d’Orient issus de la plus vielle communauté chrétienne au monde née à Antioche alors capitale de la Province romaine de Syrie qui sont la mémoire vivante du christianisme pour les intérêts de la réussite de son alliance avec l’islam dont la finalité est la destruction du peuple juif cet ennemi irréductible comme il l’avait fait dans les années noires nazies.
Après tout aux yeux du Vatican les chrétiens d’Orient n’ont que ce qu’ils méritent à cause de leur refus de faire allégeance à Rome et auxquels ils préfèrent les musulmans obsédés par la haine du juif et de son anéantissement. Oubliant que le musulman est encore pire que le nazi il n’aime ni le chrétien , ni personne d’autre et encore moins lui-même. Il n’a d’amour que pour cette divinité sanguinaire, impérialiste, cannibale, esclavagiste et génocidaire. Le musulman est créé pour avoir de l’aversion pour l’humanité tout entière.
Le Vatican fait fausse route en jouant la carte de l’islam pour venger la mémoire du Christ en lui offrant en Holocauste la minorité chrétienne d’Orient à la façon de Pétain qui considérait les juifs de France comme un détail pour sauver l’essentiel.

Il ne va pas pleurer sur le sort de ces schismatiques, ces sécessionnistes et leur venir en aide alors que le génocide dont ils sont victimes est du pain béni pour lui pour s’en débarrasser sans coups férir. Un obstacle de moins dans son projet de mettre un jour la main sur Jérusalem qui est en réalité le vrai noeud du problème du Proche-orient. Tout laisse croire qu’il y a un marché secret sur le dos des chrétiens d’Orient et des minorités chrétiennes dans les pays de l’O.C.I. entre les deux forces du mal qui convoitent Jérusalem qui portent sur le partage de la ville entre musulmans et chrétiens et exit les Juifs.

En attendant il faut éliminer tous les obstacles qui peuvent nuire à leurs desseins respectifs qui passent par l’extermination des chrétiens et des juifs des mains des musulmans que le Vatican ne doit pas gêner dans leurs oeuvres destructrices qui ne sont qu’un bien pour un mal.

Le contrôle de la culture pour conquérir les peuples

Les pire films Hollywoodiens complètement dégénérer qui parle de cannibalisme, musique rap dégoutante fait par des ”pimps” et manager par (((vous savez qui))). Les pires show de TV américaines qui pousse la mixité entre les races et la divison des sexes:les dude bros films ou ils parlent des femelles comme des morceaux de viande sans valeur VS les films de filles ou les hommes sont vu comme des moins que rien juste utilisable pour leur ”gros engin”. Tous ces exemples ont quelque chose en commun…Toutes des armes utilisées pour laver le cerveau des adolescents, mais des adultes aussi pour leur faire détester leur propre race, pays ou famille.

L’Amérique du Nord et l’Europe en 2017 sont sous le même degré de domination juive que l’Allemagne de Weimar était sous en 1929. Sir Arthur Bryant, un historien respecté des années 1920, a écrit que bien que les Juifs n’était que 1% de la population allemande, en 1924 dans le Reichstag ils représentaient 25% des sociaux-démocrates. Les kikes contrôlaient 57% du commerce du métal, 22% du grain et 39% du textile. Plus de 50% de la Chambre de commerce de Berlin étaient juifs, ainsi que 1200 des 1 474 membres (spéculateurs) de la bourse allemande.

Sur les 29 théâtres légitimes de Berlin, 23 avaient des directeurs Juifs, Être directeur de film était essentiellement un monopole juif. En 1931, 144 films ont été approuvés, 119 ont été écrits par des Juifs et 77 produits par eux. Regardez Hollywood en 2017. Les kikes dominent totalement l’industrie cinématographique. Bien que la plupart des films soient des déchets vulgaires et violents, l’industrie se félicite elle-même en se donnant des récompenses pour produire de telles merdes. Les films de propagande et de message haineux sortent d’Hollywood et des écrans de télévision. L’industrie des nouvelles et des communications est un royaume juif. Du NY Times à votre journal local, de CNN aux animateurs de talk-radio, vous êtes «informé» par un groupe (((spécifique))) de la société américaine. Un groupe (((choisi)))…

L’industrie financière américaine est essentiellement une franchise juive. De la (((Federal Reserve))) aux banques et aux secteurs des prêts hypothécaires et autres financements, les propriétaires sont très souvent Juifs. Et ces professions sont tellement dominées par les Juifs que ça en devient choquant. Saviez-vous qu’une entreprise israélienne a créé et installé et maintient le niveau absolument plus élevé de communication sécurisée dans le Pentagone et la Maison-Blanche? Pensez-vous que quelqu’un aurait pu construire un système de surveillance? C’est la même chose en France, UK, etc. Les (((agents impériaux))) ont accès à littéralement toutes les informations ”secrètes” des gouvernements les plus puissants du monde.

Y a-t-il quelque chose de mal avec ça? Pas en principe, non. Le problème est celui du monopole et l’exclusion des non-Juifs par l’auto-promotion qui prédomine dans la plupart des pays dominés par les kikes d’aujourd’hui. Si un Juif est considèrer pour un travail contre un non-Juif, et celui qui fait l’embauche est Juif, devinez qui obtient le travail. Puisque les Juifs se tiennent ensemble comme une tribu, ils se maintiennent mutuellement aux plus haut rangs des entreprises et tirent leurs cordes en garantissant que les membres de leur race reçoivent la part du lion. Les meilleurs places dans les grandes universités et les meilleurs emplois.

Dans l’Allemagne de 1929, en droit et en médecine, les kikes étaient largement représentés. À Berlin en 1931, 42% des médecins de la ville et 48% de ses avocats étaient juifs. Les Juifs d’Allemagne de Weimar ont utilisé leurs leviers de propagande pour ridiculiser les idéaux et la culture allemande. Ils ont même craché sur la mémoire des soldats allemands tombés dans la Première Guerre mondiale. Pendant les journées d’horreur de la grande inflation, les Juifs en grande partie sont devenus des personnes riches et ont prospéré par les pertes des masses. Vacances coûteuses, champagne…alors que les Allemands ordinaires crevaient de faim comme des chiens.

Aujourd’hui, les Juifs contrôlent de vastes étendues de richesse en Amérique. Les estimations varient jusqu’à 70%. Quelle que soit la figure, elle est énorme et immensément hors de proportion avec leurs 2% de la population dans la société américaine. Aujourd’hui, en 2017, les États-Unis sont totalement dominés par les Juifs. Pratiquement tous les journaux ou les revues appartiennent à des Juifs. Leur propagande autonome remplit constamment l’écran du téléviseur. Le gouvernement fédéral est totalement sous contrôle Sioniste. Les forces militaires américaines sont les esclaves d’Israël…où devrais-je dire, leurs putes.

Malheureusement, la plupart des gentils se contentent de leurs échelons inférieurs et ce manque de vigueur intellectuelle les condamnera pour toujours à un statut de seconde classe dans l’Amérique juive d’aujourd’hui. Comme en France ou les (((agents impériaux)) ont de plus en plus de pouvoir a chaque jour. Même principe qu’au USA, contrôle complet des médias, quand ils se font pointer du doigt par de courageuges personnes, c’est le bon vieux: espèce d’antisémite, comment ose-tu, les 6 trillions gazer….etc. Il y a seulement une solution à ce problème et non ce n’est pas un simple bannisement ou une expulsion mais bien une totale éradication.